Paris présente sa "stratégie de résilience" pour traverser sereinement le siècle
Quotidien : Sandrine Rousseau revient sur son clash avec Christine Angot
Quotidien : Sandrine Rousseau revient sur son clash avec Christine Angot (Vidéo)4 octobre 2017
Invitée sur le plateau de Quotidien, Sandrine Rousseau est revenue sur son clash avec Christine Angot. Non Stop Zapping vous en dit plus.
Secret Story 11 : Barbara topless lors de l’élection de Miss Secret, la séquence sexy
Secret Story 11 : Barbara topless lors de l’élection de Miss Secret, la séquence sexy (Vidéo)4 octobre 2017
Mardi soir, "NT1" diffusait une nouvelle quotidienne de "Secret Story 11". Et une séquence a marqué les téléspectateurs. Celle de l’élection de Miss Secret. En effet, pour remporter la couronne, Barbara n’a pas hésité � faire tomber le haut pour charmer les garçons. Des images sexy � retrouver sur Non Stop Zapping.
"Bouvard et Pécuchet" : de quoi épater Flaubert
Marrakech Un abri de lumière pour Saint Laurent
Le musée consacré au couturier, qui sera inauguré le 19 octobre, retrace l’influence du Maroc sur ses créations et l’importance du lieu dans sa vie avec Bergé. Une manière aussi de construire un mythe.
Ce matin de septembre � Orly, les franchisés d’un distributeur d’électroménager partent pour leur séminaire annuel au Club Med de Marrakech. Ils sont tous coiffés d’un chapeau de paille � la marocaine : ils savent que le dépaysement est affaire de décors et de costumes. Deux éléments qui sont précisément � l’origine du musée Yves Saint Laurent, qui sera inauguré � Marrakech le 19 octobre.
Costumes
La photographie du couturier en djellaba, qui dissimule l’entrée du bâtiment, le confirme. La ville qu’Yves Saint Laurent découvre en 1966 a nourri l’exotisme de ce Parisien natif d’Oran. Dès 1968, il lance la veste saharienne, étrangement inspirée de l’uniforme de l’Afrikakorps, l’armée nazie au Maghreb, et des soldats coloniaux. Frappé par les couleurs dans les rues, il revisite tarbouchs, burnous et caftans. Saint Laurent transpose en vêtements le jardin du peintre Majorelle, acheté avec Pierre Bergé en 1980, et qui jouxte aujourd’hui le musée.
D’entrée, le vêtement est au centre de la petite communauté occidentale autour d’Yves Saint Laurent, où se donnent bals costumés orientaux et où s’invente en caftan un orientalisme bohème et chic.
L’actrice Talitha Getty, femme du millionnaire, se déguise en paysanne, mêlant broderies et guenilles. William Burroughs, familier du groupe � Marrakech, en donne une pochade crue dans la fiction d’anticipation The Wild Boys, publiée en 1971 : «Toutes les pédales de la planète campent ici et l� déguisés en garçons sauvages. Il y a des costumes Bowery, ils ont l’air tachés d’urine et de dégueulis, mais si on les examine de près, on se rend compte que ce sont des broderies subtiles de fils d’or fin.»
Un ermite mondain
Le caftan comme le salon marocain autorisent l’abandon des codes mondains. Le Marrakech de Saint Laurent se veut aussi en (...)
Cinéma : "Le Sens de la fête"
C'est un mariage, mais côté coulisses. Éric Toledano et Olivier Nakache ont tourné leurs caméras vers les petits métiers de l'événementiel. , en salles ce mercredi 4 octobre, évoque l'histoire d'une bande de plongeurs, serveurs et autres, réunie pour faire d'un mariage un moment inoubliable. "Parfois, dans un mariage, on regarde sa montre et on a envie de rentrer chez nous, mais quand on regarde ces serveurs, les cuisiniers, les commis, les choristes, les musiciens, ce sont des gens qui nous touchent, qui travaillent. Peut-être qu'ils ne voudraient pas forcément être l� , mais ils donnent de la joie", estime Olivier Nakache.
Faire sociétéJean-Pierre Bacri, irrésistible en petit patron dépassé, a dit oui sans hésiter au duo de réalisateurs dont il apprécie le ton bienveillant, mais pas naïf. "Quand on lit le film, et encore plus quand on le voit, on s'aperçoit qu'il y a une sorte de métaphore sur la société. C'est � dire qu'évidemment on est tous faits différemment. On est tous petits, noirs, arabes, grands, compétents, incompétents, bourgeois, pas bourgeois. Mais il est question de faire société quand même", dit l'acteur.